OLIVIER BIDCHIREN Les Méandres de la Folie |
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Les Méandres de la Folie, Éditions Nuit d’Avril Nouvelles
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Les Méandres de la Folie, Éditions Lokomodo Lokomodo Diffusion : |
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LE LIVRE La plupart des 14 nouvelles qui composent ce recueil se déroulent en Touraine. Toutefois, elles peuvent toutes se dérouler au coin de la rue où vous habitez, entre rêve et réalité : Les Réverbères. Ligne blanche. Mémoire d’un Amnésique. La Nuit, tout et gris. La première Tentation du Sang. Le Train ne siffla qu’une fois. Une Page de Vie bien remplie. L’ultime Cauchemar. Lucie, ou Comment retrouver le Tartare. L’Appel de la Chair. Le Ballet des Astres. Une Naissance particulière. Destins croisés. * « Les nouvelles d’Olivier Bidchiren ne se lisent pas : elles se savourent. Fermez portes et fenêtres, installez-vous confortablement et laissez vous entraîner, au fil des lignes, dans un univers fantastique envoûtant, qui vous mènera aux portes d’une réflexion métaphysique et philosophique teintée d’humour et imprégnée d’une rare finesse. À l’instar de Borges, Olivier Bidchiren nous entraîne sur ces pistes obscures que nous refusons trop souvent d’explorer, parfois par paresse, mais souvent par crainte de l’inconnu. Les Méandres de la Folie font partie de ces rares ouvrages que l’on lit et relit avec un plaisir décuplé, afin d’en apprécier toute la saveur et la richesse. Toutes les nouvelles qui composent ce recueil apaisent, confortent ou dérangent, mais elles ne laissent pas indifférent. »
LA PRESSE « Olivier Bidchiren nous propose un ensemble de textes originaux et passionnants, promenant le lecteur dans des univers fantastiques et imaginaires. Les scénarios sont minutieusement ficelés et nous emportent dans des histoires à couper le souffle. Un véritable festival de court-métrages. » Michel Cordebœuf, Radio-Accords Poitou-Charentes « Olivier Bidchiren est un nouvelliste plein de profondeurs, lié à ses textes par un long fil cristallin se dirigeant indubitablement vers son lectorat. Indubitablement, puisqu’en lisant Les Méandres de la Folie, nous sommes instantanément transportés dans un autre univers où l’auteur nous distille sa vision du Monde avec poésie et humour. Nous ne lisons pas les 14 nouvelles, présentes dans Les Méandres de La Folie, mais plutôt nous les ressentons comme si nous étions immergés dans une mer de mots où ceux-ci glissent comme des torrents de vagues voluptueuses vers divers horizons. Divers horizons puisque même si le thème principal de ce recueil traite de la perte de rationalisme et ouvre une voie vers la folie, les 14 nouvelles sont très différentes, tout en englobant des thèmes classiques de la littérature fantastique. Olivier Bidchiren a la grâce et la maîtrise de diversifier l’univers de ses nouvelles ainsi que le traitement de son style littéraire qui est, comme je le disais plus haut, empreint d’une poésie des mots et d’une poésie d’ambiance entrecoupée par des pointes d’humour pleines d’esprit. Ce qui au final rend le texte des nouvelles très léger d’appréhension pour le lecteur. De plus, Olivier Bidchiren nous oriente dans une lecture composée de plusieurs niveaux. Tout d’abord influé par son goût de l’ésotérisme et des sciences occultes, ses textes distillent une atmosphère bien particulière et grâce à cela il nous semble que tous les personnages des Méandres de la Folie ne font qu’une entité indissociable avec le récit. Ensuite, grâce à la perception critique qu’à l’auteur envers les défauts de notre société, il arrive à modeler ses récits avec une touche d’un réalisme affublé d’une touche de fantastique qui se veut par moment à la limite du fantastique paranoïaque. Et, pour finir, la troisième lecture sera de facture envoûtante grâce à son aptitude à accrocher le lecteur par un emploi des mots sans faille avec une souplesse littéraire savoureuse et aérée par un humour moqueur adjoint de finesse. » Requiem, Scifi-Universe «J’adore les recueils de nouvelles et ce n’est pas ce petit bijou qui amoindrira mon amour pour les plus courtes. Accrochez-vous bien à la prose riche et vivante d’Olivier Bidchiren car, avec ce drôle d’oiseau, impossible de savoir où on met les pieds. Ses récits sur la vie, la mort, l’amour, le sang, la folie et toutes les puissances physiques ou ésotériques s’enchaînent sur un rythme trépidant sans jamais se ressembler, sans jamais se répéter. Une grosse pointe d’humour par-ci, une touche de sensualité bien dosée par-là… à chaque point final on lève les yeux, le souffle rendu un peu plus court par le suspense qui nous a emprisonné le temps de quelques pages, le cœur réjoui, l’esprit amusé (ou l’inverse) et l’on se dit : « Le bougre, il m’a encore bien eu ! » Laissez-vous donc séduire par cet auteur facétieux au style implacable et précis si vous ne craignez pas de devenir immédiatement accro. Cela dit, sa plume étant presque aussi prolixe que redoutable, vous ne devriez pas être en manque de si tôt et c’est tant mieux.» Alexandra Dekempe, Crypt’O Goths «Les Méandres de la Folie est un vrai régal. Du plaisir en concentré du début à la fin. Olivier Bidchiren et son style si épuré, soigné, à la fois poétique et accessible nous transporte dans ses univers tous différents. On découvre le paradis, des gens aux pouvoirs surprenants, on rêve d’aventures, de corps astral, de pouvoirs changer les événements… On se retrouve comme happé par les mots et on oublie même que l’on tient un livre. Un grand moment d’évasion ! L’auteur réussi à nous faire visiter ses mondes tout en posant des questions existentielles ou philosophiques. J’apprécie aussi les citations en ouverture de nouvelle. Un très bon recueil et un auteur fort sympathique. » J.B., Unexplained « Ce recueil de 14 nouvelles s’inscrit dans un fantastique classique où le diable intrigue encore pour voler des âmes ou semer l’effroi sur terre, où des phénomènes inexpliqués troublent la quiétude d’individus ordinaires. […] Le tout est écrit avec un beau sens de l’économie et un vocabulaire choisi, qui sont des marques d’élégance convenant parfaitement à ces récits. » Claude Ecken, L’Écran Fantastique « Les nouvelles que vous trouverez dans ce recueil ont toutes une patte particulière, reconnaissable. Une fois que vous aurez franchi les premières pages, et que vous vous serez habitués à celle-ci, vous plongerez corps et âme dans un univers personnel très particulier. Certes, il l’est parce que le fantastique y est présent, mais pas seulement. Des éléments perturbants, dérangeants, viennent vous chatouiller l’esprit et les sens. Des questions s’insinuent en vous et arrivent à vous interpeller. Bref, ces nouvelles ne vous laissent pas indifférents. Je vous assure que vous trouverez dans ces pages une qualité, qui est une obligation au sein de Nuit d’Avril. » Wong Li, Les Chroniques de l’Imaginaire « Olivier Bidchiren nous accompagne dans son univers métaphysique et philosophique où se repose un humour parfois caustique mais délicieux. Son écriture est subtile et ciselée, le chemin est tout tracé pour être agréable au lecteur qui désire s’aventurer sans être impliqué. Ces petites scènes cinématographiques réveillent et apaisent aussi. Toutes les composantes de la vie et de la survie enveloppent ce bel ouvrage. » Isaline Rémy, Revue indépendante « Un lecteur de bibliothèque qui disparaît dans les pages d’un livre, quoi de plus normal ? Ou encore cette femme qui modifie le système planétaire pour éviter une catastrophe naturelle et ce train qui se nourrit de ses passagers, n’oublions pas non plus cet amoureux des arbres qui chérit ses amis à branches plutôt que sa femme. Tout cela vous semble absurde ou impossible ? Non, pour Olivier Bidchiren, rien n’est impossible, il écrit l’inimaginable, le surnaturel, l’incroyable ! À travers ce recueil de nouvelles, l’auteur vous propulse dans des mondes parallèles pourtant si proche de votre quotidien, le dérapage arrive toujours au moment où on s’y attend le moins. Olivier Bidchiren nous égare dans une logique qui n’appartient qu’à lui-même, une logique pleine de surprises, d’incompréhension et de réflexion. Certains le comparent d’ores et déjà à Borges qui a marqué tous les esprits par son oeuvre et surtout grâce à Fictions, l’état d’esprit émanant de ce recueil est proche de celui de Bidchiren qui nous entraîne sur des pistes que nous préférons oublier, ignorer, par peur d’être dérangé dans notre petit monde si ancré dans le réel… » Nicolas André, Le Fantastique.net (Belgique) « Ce qui caractérise le plus les nouvelles d’Olivier Bidchiren est peut-être un art maîtrisé de la surprise sous une plume légère qui permet au lecteur de traverser les pires situations sans se départir d’un regard légèrement et délicieusement décalé. » Rémi Boyer, Incohérisme « Le plus appréciable dans ce recueil est la façon d'écrire d’Olivier : en effet, c'est avec un style très poétique qu'il nous parle de cannibalisme, de vampirisme ou autre joyeuseté du fantastique. De nombreux thèmes sont abordés : la déité, la réincarnation, le mythe du vampire, l’antéchrist. Chaque histoire apporte son lot de surprises, et Franck Guilbert n’a pas tort en affirmant que les nouvelles ne se lisent pas mais se savourent… Allan Dujiperou, Fantastinet.com « Le recueil de nouvelles d’Olivier Bidchiren intitulé Les Méandres de la Folie aux Éditions Nuit d’Avril ne vous laissera pas indifférent. C’est impossible. Vous allez plonger dans l’univers étrange d’Olivier Bidchiren et cette expérience vous plaira à n’en pas douter. Il y a un rythme incroyable dans l’écriture, qui vous pousse vers l’avant de plus en plus vite. Vous traverserez différents univers au fil des pages, avec une montée en puissance dans les degrés de la folie. En commençant par une rencontre étrange, qui aurait pu être une rapide incursion dans la 4° dimension. Pour ensuite faire l’objet d’une expérience mystique… puis une expérience scientifique… une rencontre fantomatique… une disparition pour le moins inattendue… et pour finir la folie à son paroxysme, celle qui pousse au meurtre. Chaque texte est une pure merveille ce qui fait de cet ouvrage un chef d’œuvre. La qualité de l’écriture vous permet de visualiser immédiatement les descriptions ou l’action qui défile sous vos yeux. Et étonnement lorsque vous arrivez à la fin de chaque nouvelle, et encore plus à la fin du recueil, vous n’avez qu’une envie, celle de renouveler l’expérience que vous venez de vivre et de reprendre votre lecture pour apprécier une nouvelle fois les sensations incroyables provoquées par ces textes. Un ouvrage indispensable à lire et à offrir. » Xavier Desnos, L’Autre Monde, Radio Antenne Portugaise « Il est indéniable que le talent de cet auteur aux multiples facettes se bonifie d’année en année. Plein d’humour, poète et philosophe à ses heures, Olivier Bidchiren, dans un style incisif, explore des mondes imaginaires dans une quête initiatique permanente. Chaque nouvelle est un monde en soi, un petit bijou de finesse d’écriture. » Rémi Maffre, Détours & des Nuits « Dans poétosophe, il y a poète. Et dans les très belles nouvelles de cet auteur, il est indéniable que la poésie est présente. Une poésie des mots et des sonorités, une poésie du verbe toujours choisi pour son sens présent et passé, pour ce qu’il nous dit mais aussi pour ce qu’il nous suggère derrière les apparences. Mais aussi une poésie de l’âme au travers de la peinture d’êtres anodins aux prises avec leur destin, avec leur foi et avec leurs certitudes. Des moments de doutes, des moments de choix, des bifurcations qui font que plus rien ne sera jamais plus comme avant. Une poésie discrète qui fait que ces nouvelles sont pour la plupart d’une grande beauté et surtout d’une grande sensibilité. Mais dans poétosophe, il y a aussi philosophe. Et philosophe, Olivier Bidchiren l’est assurément ! Au fil de ses quatorze courtes nouvelles fantastiques, il va nous indiquer la voie d’un questionnement métaphysique sur nous-même, sur notre présence au monde, sur nos religions, nos croyances, notre libre arbitre, notre destin et sur nos choix. Ses choix qui font que nous sommes libres et humains, ses choix qui font que nous brisons parfois d’un coup les chaînes de nos existences et que nous prenons subitement la voie qui nous appartient et qui nous définit intrinsèquement. Ce choix fera parfois de nous des monstres, des violeurs ou des tueurs, mais aussi parfois des sauveurs anonymes de l’humanité. Chez Olivier Bidchiren, la folie et le fantastique sont intimement liés et les passions humaines deviennent très rapidement le berceau de cette folie dévorante et parfois annihilante. Beaucoup de questions que nous pose l’auteur, des interrogations qu’il soulève sans pour autant y apporter de réponse. C’est à nous d’y lire notre propre sens, notre propre interprétation et d’y inscrire nos propres choix. Olivier Bidchiren nous interpelle et nous abandonne face à notre lecture, nous confronte à la manière d’un Buzzati ou d’un Borges à un fantastique de la limite, de la frontière et de l’interrogation et nous pousse à réfléchir. » Chaperon Rouge, Psychovision « Entre l’évocation de délires hallucinatoires et autres folies passagères, ces Méandres de la Folie provoquent effroi et terreur. Diabolique ! Olivier Bidchiren crée un univers sensoriel bien particulier. L’odeur du soufre est récurrente. Le jeu de lumières est spectaculaire : rappel constant de la couleur blanche, des ombres, des phares de voitures. Les scènes se passent souvent de nuit. La récurrence de la couleur blanche associée au métal rend l’environnement aussi stérile que celui d’un hôpital particulièrement psychiatrique. En fait, dans l’inconscient collectif, cette association se fait rapidement. De plus, la saison hivernale revient souvent. Associée au sommeil et à la nuit, j’ai pensé inévitablement à la camisole chimique. L’utilisation de la première personne du singulier provoque une sensation d’être voyeur et victime. Horrible ! L’auteur semble très cultivé. Il donne l’impression de vouloir transmettre son savoir. Du coup, il domine complètement le lecteur. Un véritable enfer ! » Cécilia Jamart, Onirik « À l’instar d’un Werber ou d’un King, Olivier Bidchiren choisit un contexte réaliste à souhait et en fait une descente à l’inattendu vertigineuse. En quatorze nouvelles toutes aussi différentes les unes des autres, le style se décline et finit par être véritablement identifiable. Le cœur-même de chaque nouvelle est une petite perle de créativité. Que l’on ait affaire au gogolesque portrait qui renferme une malédiction atemporelle, ou à l’anthropomorphe « La nuit, tout est gris » , on ne peut pas parler d’éternelles redites en ce qui concerne les idées de Bidchiren, erreurs que bien des auteurs, même acclamés, perpétuent sans aucun remord, et à qui l’on pardonne tout, sous prétexte que… » Siamese Almeida, Parchemins & Traverses « Cinquième recueil de nouvelles pour le Français Olivier Bidchiren. Dans un genre dérangeant car mélangeant réalité et fantastique, les textes posent plus d’une question. Le seul souci est que la brièveté est de mise et qu’il faut par conséquent se plonger sans détour dans les écrits, se donner corps et âme dès le début. Cet ouvrage contient le récit Destins croisés qui a remporté le Prix de l’Armée des 12 Singes 2005. Suivez le démon ou le dieu des pages, venez découvrir un chromosome supplémentaire ou cultiver la passion des arbres. Des thèmes vastes pour un style où l’évasion a une ampleur considérable. Votre quotidien sera chamboulé par les dénouements surprenants (pas toujours) parfois glauques, parfois plus heureux. » Oxana, Murmures (Suisse)
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