Les Sept Vallées de la Gloire, d'Olivier Bidchiren

Olivier Bidchiren

OLIVIER BIDCHIREN

Les Sept Vallées de la Gloire

 

 

 

 

 

 

 

Ésosphères

 

 

Les Sept Vallées de la Gloire, Éditions des Écrivains, 2002

 

LE LIVRE

Par le biais de huit nouvelles qui empruntent tant au fantastique qu’à la science-fiction ou au surréalisme, l’auteur à voulu agencer ces textes de création littéraire en un voyage initiatique et faire de ces nouvelles des vallées luxuriantes que le lecteur traverse avec les yeux écarquillés. Il y sera surpris, subjugué par les images et toujours à l’affût des valeurs qu’il a souhaité développer : Recherche, Amour, Connaissance, Indépendance, Unité, Émerveillement, Dénuement, jusqu’à l’apothéose de l’esprit rayonnant. Ainsi, Bidchiren conduit le lecteur-voyageur du passé au futur, dans des contrées telles que la Rome antique, la Chine impériale, l’Égypte, la Savoie, le Poitou et la Touraine, grâce à des personnages imaginaires ou historiques, incluant humour, dérision et symbolisme, à la recherche de valeurs et d’enseignements spirituels qui forcent à voir la destinée sous un nouveau jour afin de parvenir au bonheur et à la gloire de l’âme.

 

LA PRESSE

«Le style sophistiqué de Bidchiren y éclate dans un véritable ballet pyrotechnique. »

Actu-SF

L’ÉDUCATION NATIONALE

Durant l’année scolaire, 2003/2004, ce recueil de nouvelles a été étudié par les élèves de 4e et de 3e du Collège George Sand de Châtellerault (86) classé Z.E.P., lors d’un Itinéraire de Découverte (I.D.D.) placé sous le thème de « Science & Science-fiction » sous la direction des professeurs de français Mmes Agnès Dibot et Sandra Brunet.

EXTRAIT

«Toi qui existes quelque part dans cette nuit, j’espère que tu me liras et que tu comprendras qu’il n’y a rien d’égoïste à vouloir l’éternité. Rien que pour nous ? Bien au contraire ! De notre survie dépend la prochaine civilisation. Je ne peux plus avancer dans ce monde obscur et aveugle, dans cette nuit perpétuelle, sourde aux désirs des vivants qui cherchent à aider ceux qui ne savent plus et ne sauront plus jamais la beauté d’une nature, d’une lumière, du soleil sur la mer. Aveugles devant la Vérité d’un arbre, ils ne doivent pas savoir le plaisir d’une joie simple, ils pourraient la détruire sous les coups de hache de la raison.
« Seuls, mais éternels.
« Demain, c’est déjà maintenant.
« Dans mon trou, je tremble d’amour et de peur quand tu découvriras ce message. Je ne suis plus ici, j’ai demandé l’éternité.
« À toi et maintenant. »

Extrait de la nouvelle, Lettre d’une dernière vivante à un dernier vivant.

 

 

   
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